Dis, est-ce que
quelquefois tu te rappelles
Des sentiments qui
nous avaient unis
En ces jours anciens
j’ignorais la peine
Lumière et chaleur
m’échappent depuis.
Des feuilles jaunes
et pâles tapissent ma peine
Sous mes pas et dans
mes pensées
Des feuilles jaunes
et pâles tapissent ma peine
Feuilles de chagrin
et de mélancolie
Un souffle d’automne
à ma porte
Voudrait effacer ton
absence
Mais dans mon coeur
un air s’entête
Que si souvent tu
fredonnais
Une ritournelle
inoubliable
Tu m’adorais, je
t’adorais
Comme deux amants
inséparables
Tu m’adorais, je
t’adorais..
Les aiguilles se
moquent des rengaines
Et le tic-tac
assourdissant
Du grand horloge qui
nous anime
Noie nos ivresses
dans le temps..
Les aiguilles se
moquent des rengaines
Et le tic-tac
assourdissant
Du grand horloge qui
nous anime
Noie nos ivresses
dans le temps..
Ouvrez le ban! Le banc du jour