De
jour comme de nuit ils sont là, nous regardent passer, nous voient
les regarder, puis nous voient au passé, les mannequins comme les
passants... Sommes-nous plus humains dans
la foule anonyme, anonymes nous-mêmes, qui malgré nos yeux ne
voyons rien, chaque âme n’est perçue que comme partie du décor,
nous retenons plus des affiches, des écrans, des mots passants, que
des vivants qui nous croisent… Un jour, une nuit, aura-t-on le
courage de briser le verre de nos vitrines ?
vendredi 3 novembre 2017
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
A Couilly-Pont-aux-Dames un jeudi de décembre..
En souvenir de Charles, Germaine et Laurence.. Ouvrez le ban! Le banc du jour
-
Ce beau trio de têtes de linottes Paru au fil des sept lieues de nos bottes Un air vital de seulement trois notes Mailles de laines que ...
-
A Concarneau, un chemin agréable pour rejoindre la plage du sable blanc, en évitant le centre-ville et le port... Ouvrez le ban!...






Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire