L’océan, dans une valse, colore
aux jours d’été ses bleus profonds, son écume blanche et ses verts aux teintes
moirées, qui viennent se confondre et s’étendre, puis disparaître sur le sable
mouillé.
L’océan sous le vent berce ses
corbeilles d’argent, et tout autour de la baie s’agitent et applaudissent les
feuillages, la nature toute entière est au spectacle, la nature toute entière
est un spectacle.
L’océan est le
miroir du ciel et le ciel est le miroir de l’océan, posé au bord, je vois le
tout et le néant, je ne suis rien qu’un petit point infime sur l’immensité du
littoral, un point d’horizon indéfini pour l’horizon lointain que je regarde.
Ouvrez le ban! Le banc du jour
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