Alignés ou solitaires, autour de tout ce qui vit, près de ceux qu’on enterre, ils tendent leurs branches comme des multiples bras pour qu’on les voie, mais on passe et l’on ne les regarde pas. Pourtant ils sont bien là, en bord de mer, à la montagne, où que l’on soit, à la ville à la campagne, à chaque fois les arbres nous accompagnent...
Ouvrez le ban! Le banc du jour
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