Rêveur seul en moi-même, là où mes pas me mènent,
Je parcoure cette ville, belles demeures, vieilles bâtisses,
Le château majestueux, les arbres et l’oxygène,
Et près du ciel, perchées, les tours de Saint-Maurice.
Des bancs ici et là s’offrent à l’échappée belle
Dans l’oubli du moment, immobile et vivant,
Ecoutant dans le vent, cherchant qui nous appelle
Dans ce vaste univers d’espoir et de tourments...
La Maine est apaisante et le ciel est clair,
Le décor qui se mire évoque une peinture,
Œuvre d’art hors musée, magie de la lumière,
L’artiste de génie, c’est juste la nature...
Fin de l’instant précieux, mon mobile se déclenche,
Fini Pierrot lunaire, il faut que je débranche..
Je parcoure cette ville, belles demeures, vieilles bâtisses,
Le château majestueux, les arbres et l’oxygène,
Et près du ciel, perchées, les tours de Saint-Maurice.
Des bancs ici et là s’offrent à l’échappée belle
Dans l’oubli du moment, immobile et vivant,
Ecoutant dans le vent, cherchant qui nous appelle
Dans ce vaste univers d’espoir et de tourments...
La Maine est apaisante et le ciel est clair,
Le décor qui se mire évoque une peinture,
Œuvre d’art hors musée, magie de la lumière,
L’artiste de génie, c’est juste la nature...
Fin de l’instant précieux, mon mobile se déclenche,
Fini Pierrot lunaire, il faut que je débranche..
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