Quand je me noie dans tes yeux verts
Je plonge dans un autre univers
Délire, fusion regard en l’air
Le réel est si délétère
Un voyage dans l’infini,
Là où je perds tous mes repères
Je me joue de tout, aime et jouis
Et me fous de qui gagne ou perd
La ville la plus dense est pour moi un désert
Les fêtes les plus joyeuses me sont austères
C’est l’obsession de ton regard,
Qui me projette loin de la terre
Pour qu’il me voie, que je m’amarre
Dis-moi, mon phare, que puis-je faire ?
Là-haut c’est peut-être l’Eden,
Peut-être, ici-bas c’est l’enfer
Aux obsèques de l’être qu’on aime,
C’est soi-même que l’on met en terre
J’attends, j’écoute, je guette au moindre courant d’air
Un souffle d’amour apaisant, mais la mort n’est qu’un tas de pierres
Je plonge dans un autre univers
Délire, fusion regard en l’air
Le réel est si délétère
Un voyage dans l’infini,
Là où je perds tous mes repères
Je me joue de tout, aime et jouis
Et me fous de qui gagne ou perd
La ville la plus dense est pour moi un désert
Les fêtes les plus joyeuses me sont austères
C’est l’obsession de ton regard,
Qui me projette loin de la terre
Pour qu’il me voie, que je m’amarre
Dis-moi, mon phare, que puis-je faire ?
Là-haut c’est peut-être l’Eden,
Peut-être, ici-bas c’est l’enfer
Aux obsèques de l’être qu’on aime,
C’est soi-même que l’on met en terre
J’attends, j’écoute, je guette au moindre courant d’air
Un souffle d’amour apaisant, mais la mort n’est qu’un tas de pierres
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