Dedans ou dehors,
Le bal des barreaux
Nous cerne.
A se taire, nos phrases
Peu à peu s’écrasent,
Dans des bruissements
Infinis..
Et nos mots à vif sont écorchés.
Car ces râles carcéraux nous font mal,
Car ces rots carcéraux exhalent
Une haleine de haine,
qui macère dans les non-dits.
Silence maudit.
Ouvrez le ban! Le banc du jour.
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