Si
tes seins sont des montagnes
Si
ton ventre est une plaine
Dans
tes décors de campagne
Je
rêvasse et me promène..
Que
je marche sur les mains
Sur
la tête ou les genoux
Ça
te fait toujours du bien
Tu
me donnes et me dit tout.
Je
me baigne sans maillot
Car
ta bouche me l'enlève
Quand
je plonge dans ton eau
Et
m'enfonce dans tes rêves.
Je
visite des tunnels
Sans
allumer la lumière
L'obscurité
est si belle
Que
je me jette en enfer.
Alors
tu vois le diable
Et
moi je vois le feu
Puis
un bonheur inavouable
Te
colore enfin les yeux.
Adieu,
je quitte tes montagnes
Et
tes jardins et tes plaines
Je
pars loin de tes campagnes
Alors
dans l'ombre coule la Seine...
Ouvrez le ban! Le banc du jour
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