Deux amants enlacés cotonnés dans le ciel
Enfuis d’un coup de vent par des elfes remplacés
Puis les formes se fondent, les nuées s’entremêlent
Du trouble à nous troubler, des formes imaginées.
N’est-ce pas un chien, un cerf ? Un château médiéval ?
Pour l’imagination, c’est fromage et dessert
A regarder des heures danser les fées du bal
Agitant leur baguette, bousculant l’univers.
Est-ce un divin message qu’on ne sait décoder ?
Le nuage est un rêve, on retient ce qu’on veut
Moi, je désire simplement fantasmer, musarder
Songeant, la tête en l’air, ouvert au merveilleux.
Un ciel d’été, un banc, là-haut des formes blanches
Des chevaliers s’affrontent ou des amants s’épanchent...
Ouvrez le ban! Le banc du jour
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire