Quand un rai de soleil enchante les rues grises
Tous mes regards se perdent en éblouissement
Les couleurs des chalands exaltées me grisent
Et des visions composent du rêve le ferment
Le réel se dépasse tout au long des vitrines
Reflets et transparences racontent des histoires
Les passants, les façades, se mêlent aux figurines
Et jouent leur partition, des scènes aléatoires
Car la transparence n’est pas une fin en soi,
Elle nous transporte dans un autre univers
Comme un passage ouvert vers de nouveaux émois
Un voyage immobile vers un monde à l’envers
On s’imbrique au décor en y plongeant les yeux
Par où en ressort-on ? J’ignore et c’est fâcheux...
dimanche 19 mai 2024
Au pays des vitrines
Ouvrez le ban! Le banc du jour
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