Mémo d'avant, mes mots d'alors (42)
J'étais ce jeune homme qui écrivait des textes et des chansons..
Que
de corps étrangers sur ton corps
Tandis
qu’à mille lieues, je m’endors
Tout
seul dans la douleur qui me mord,
Et
le mal et les larmes en renfort.
Je
n’ai pas à savoir où tu sors,
Le
lieu où ton ventre se restaure,
Mais
à l’heure où ton rêve se tord,
Le
mien malheureux se décolore.
Quand
tu parles sans aucun effort
De
ces mâts sans foi qui te perforent,
A
peine, je retiens des haut-le-corps,
Je
voudrais que tu sois coffre-fort...
Que
de corps étrangers sur ton corps
Et
mon corps a pleuré sur ton corps...
Je
voudrais être mort.
Je
voudrais être fort.
Écraser en silence
La
rouge incandescence
Qui
me brûle comme toi
Quand
tu poses la main
Sur
moi...
Ouvrez le ban! Le banc du jour
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