La vie est un mensonge, la promesse n’est jamais
tenue. En plus mal, en meilleur, en plus noir, en plus rose, ce n’est jamais ce
qui était prévu, jamais tout à fait la même chose...
D’abord, c’est la naissance, la lumière intense, le
soleil dense, le ciel immense. Mais sur la chaleur du refuge, déjà est tiré un
premier trait, tombé au monde comme un transfuge, exposé au décompte des ans
mauvais...
Derrière les vitres, la ville défile comme dans un
film, le cœur s’interroge, la vie décide... Quand certains se barricadent,
d’autres tremblent dans les rues, de la misère, ils sont les « points de
repère », mais bien plus de 102 missiles fixent le ciel noir de nos
avenirs communs...
Bousculez vos sens jusqu’à vous enivrer, de
l’adolescence à l’obsolescence, rien n’est programmé. Faisons la bombe jusqu’à
la dernière fête, faisons la fête jusqu’à la dernière bombe...
Ouvrez le ban! Le banc du jour
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