mercredi 15 mai 2019

Ballade à Naarden































Des ombres noires et des couleurs dans la nuit bleue

Halos vert jaune orange suivent
Le bleu qui sombre dans ses bras.
La nuit de nos visions s’enivre,
Les arbres de leur agora.

Céleste, souffle un vent léger
Frôlant les rides de l’oubli
De caresses aux reflets ambrés,
Foncés, s’enfonçant dans la nuit.

Tombe la nuit, silence est d’or.
La fleur s’endort, l’arbre se tait.
 Au sombre est repeint le décor.
La terre se cache, le ciel paraît.

Tous les êtres pourvus de sens,
En cet instant particulier,
Perçoivent un monde en somnolence
De tant de mystères fatigué.

L’être se fond dans la nature,
L’égo écarquille les yeux
Cherche dans la voute son futur
Qui tisse la toile des cieux ?

La science ou le merveilleux ?






Ouvrez le ban! Le banc du jour





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