Cimetière, ton bal enchaîne des valses tristes que personne ne danse, les tombés du courage, du grand âge, de malchance sont partis en grandes vacances sans laisser d’adresse, mais nombreux espèrent encore les joindre, guettent le moindre souffle de vent vécu comme une caresse, un échange...
Traîner parmi les pierres en se répétant sans cesse les mêmes questions sans ne jamais obtenir aucune réponse... On finit par dire au Père okay, okay, mais les doutes se poursuivent et jamais ne renoncent...
Le décor s’estompe quand le jour décroît, un silence oppressant plus pesant que le glas inonde les lieux de sa présence exprimant le vide et l’absence. Plus la nuit est noire, plus j’essaie de voir à travers je ne sais quoi. J’aimerais tant, à travers le temps, percevoir un signe, mais néant, je me signe et je rentre chez moi...
Comment faire un futur de ce présent au passé pas simple composé d’imparfait ?
Ouvrez le ban! Le banc du jour
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