Je pense souvent à l’âge des murs
Qui reflètent la maturité de l’âge
Je sais, faudra bientôt tourner la page
Alors, derrière la porte, le pur azur ?
Vois comme les pierres sont encore robustes
Mais comme l’intérieur peu à peu se vide
Plus rien à noter sur l’éphéméride
Mise à part quelques rituels bien vétustes
Quand les volets peu à peu se referment
Les souvenirs amoncelés s’enfouissent
Perdue la magie du miroir d’Alice
Dès lors, la présence arrive à son terme
Vu de l’extérieur, c’est plein de couleurs
Fleurs et arbres enjolivent le décor
Chants d’oiseaux et rires d’enfants sont pléthore
Ravissant le touriste voyageur...
Ouvez le ban! Le banc du jour
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