jeudi 7 février 2019

Alphabet musical - O -


Eh! OH! les "O", on vise haut:

1968 - The Immortal Otis Redding (Otis Redding) Pas immortel, mais inoubliable...


1962 - Night Train (Oscar Peterson) Idem



Le succès n'est pas le seul critère, il n'est pas la conséquence du seul talent, d'autres paramètres interviennent, la chance, les bons relais, les réseaux... Quelquefois le talent est bien là, mais le public passe à côté.. 

3 Olivier dont les fruits méritent attention, fortement conseillé:

1962 - Au Madison Club (Olivier Despax)


1981 - Photocopies (Olivier Kowalski)


1990 - Sentiment clou (Olivier Angèle)



Un peu de metal dans les "O": (Ca ne va pas rouiller?)

1990 - Just Say Ozzy (Ozzy Osbourne)


1991 - Horrorscope (Overkill) Speed Metal Trash Metal


2005 - Ghost Reveries (Opeth)



Top vedette dans les "O", Oasis, bien sûr (Éternels concurrents de Blur):
2006 - Stop The Clocks (Oasis)



Dans les "O" , deux Olivia :

2001 - Magic (Olivia Newton-John) Une petite compile..


2005 - La femme chocolat (Olivia Ruiz). Du talent, en voilà.



Un petit entracte de jazz, dans les "O":

1959 - The Shape Of Jazz To Come (Ornette Coleman)



Encore quelques "O" à retenir

1968 - Os Mutantes (Os Mutantes)


1972 - Crazy horses (Osmonds Brothers) 


1976 - Lady In Waiting (Outlaws)


1980 - Organisation (Orchestral Manoeuvre in the Dark OMD) Enola Gay..


1991 - Beyond The Dream (Orkestra)



Et pour finir avec les "O":

1998 - Americana (Offspring) Tout le monde connait. 


1998 - Swirly Termination (Ozric Tentacles)


2007 - Mi (Ours) Ah les familles d'artistes, celui-là c'est un des fils de Souchon et comme pour Pierre, c'est plutôt réussi.


2015 - Depressing Beauty (Orange Humble Band) Cool, reposant, comme j'aime avec de jolies mélodies...


2016 - The King Of Whys (Owen) Ne me demandez pas pourquoi, je ne suis pas le roi des pourquoi(s), moi...


Ouvrez le ban! Le banc du jour



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